La pré-saison débute pour les Alouettes de Montréal !

Le mois de mai est bien entendu la période de pré-saison officielle pour les différentes ligues de football, tant aux États-Unis qu’au Québec. Cette accalmie avant le réel commencement est donc le moment idéal pour les différentes équipes d’intéresser leurs fans, de les attirer et bien entendu, de les fidéliser pour la prochaine saison !

Les Alouettes de Montréal mettent donc actuellement le « paquet » côté médias sociaux et contenus exclusifs afin d’introduire en grande pompe l’arrivée de la nouvelle équipe pour la saison 2011. 

Une complémentarité «qui va de soi»

Avec un compte Facebook comptant plus de 62 000 fans, un compte Twitter et un second YouTube, les Alouettes de Montréal ont su bâtir à travers les années une importante communauté de fans excessivement impliquée envers la marque. L’ensemble de cette stratégie Web converge vers le site officiel des Alouettes, qui est des plus complet, mais qui peut parfois frôler la « pizza all-dressed extra bacon », c’est à dire quelque peu chargé, comme le site de RDS sait si bien le faire.

Repêchage 2011 en direct

Cette année, l’organisation a également profité du début du repêchage canadien 2011 pour entretenir une relation constante avec les internautes. Une sorte de blogue (sans en être un) a été créé afin de relater pratiquement en direct se qui se passe dans la sélection, notamment le nom des différents joueurs convoités par l’équipe. Petit fait étrange: les Alouettes rédigent leur articles directement dans l’outil de Facebook (en plus de les rendre disponibles sur leur site Internet) ce qui est loin d’être convivial et facile de navigation pour l’internaute.

 Petit mélange de plateforme?

Autre petite réflexion lors de mon analyse de la stratégie Web des Alouettes : l’équipe devrait adapter ces statuts Facebook à la plateforme, et non pas seulement faire un simple «copier-coller» de leurs différents tweets (#Alouettes #LCF #CFL #PasLaBonnePlateforme). Une petite adaptation rendrait assurément les communications plus efficaces et plus pertinentes pour les utilisateurs de Facebook.

Sur ce, bon début de saison 2011 à tous les fans des Alouettes de Montréal !

Valérie

Merci !

Bonjour à tous,

Alors que notre session universitaire tire à sa fin, l’aventure de Sport Électronique est terminée. Nous avons eu beaucoup de plaisir à plonger dans l’univers du marketing sportif sur Internet et à vous le faire découvrir. Nous espérons aussi vous avoir diverti ! Sport Électronique restera en ligne pendant une durée encore indéterminée, alors la conversation continue. Il nous fera plaisir de vous répondre si vous commenter nos articles.

Merci pour votre participation et votre support !

À la prochaine !

Alix, Guillaume, Hugo et Valérie

Pour l’athlète-blogueur… le contenu d’abord

Comme nous en avons discuté souvent depuis les débuts de Sport Électronique en janvier dernier, la relation entre l’athlète et le fan a grandement évoluée depuis les dernières années. Blogging, réseautage social, les athlètes multiplient les interactions avec leurs publics. Jusqu’ici, nous avons évalué ces interactions d’un point de vue principalement marketing : l’impact sur l’image de l’athlète, sur celle de ses commanditaires, etc.

Cependant, à la base, y a-t-il vraiment une stratégie marketing derrière chacune de ces communications ? Sommes-nous brainwashé par l’immersion que nous vivons dans le monde des com. marketing depuis le début de nos études ? La réponse varie, évidemment.

C’est pourquoi j’ai décidé d’entrer en contact avec une athlète de haut niveau (et blogueuse à ses heures) afin de lui poser quelques questions. L’athlète en question est Ève Routhier, membre de l’Équipe canadienne de ski alpin. Au cours de l’article, je glisserai des petits extrait de mon échange avec elle.

 

Premièrement : Le blogue comme journal de bord

Tout d’abord, Ève a commencé à bloguer afin de donner plus facilement de ses nouvelles. Avec le temps que nécessitent les voyages, les compétitions et tout, le blogue est devenu un outil simple et accessible pour quiconque désirait la suivre au cours de sa saison de ski. Sa motivation pour le tenir à jour régulièrement ? Ses fans.

« Je reçois énormément de commentaires positifs. […] Ça me fait vraiment plaisir de voir que j’ai autant de gens derrière moi, qui s’intéressent à ce que je fais.  C’est ma façon de leur rendre la pareille ! »

Et les commanditaires ?

« Mon blogue a commencé par être uniquement personnel.  J’y écrivais mes expériences, mes déplacements, mes performances.  Plus tard, voyant que j’étais lue par plusieurs, j’ai ajouté les logos de mes commanditaires et j’ai affiché plus de détails par rapport à ma carrière. Même si j’affiche un peu plus de visibilité pour les compagnies qui m’appuient, mon blogue demeure plutôt personnel.  Je suis la seule qui le gère et qui y écrit. »

« Mes commanditaires sont très importants.  Sans eux, je ne pourrais pas faire ce que je fais.  C’est donc très important pour moi de leur donner le plus de visibilité possible. »

L’Équipe nationale de ski l’encourage-t-elle à donner de la visibilité à ses commanditaires ?

« Ils laissent cette décision à notre discrétion.  Nous sommes par contre très sensibilisés à ce que nous affichons sur Internet (Facebook, Twitter, blogues…)  C’est notre image et notre réputation qui est en jeu.  Et par conséquent, à plus grande échelle, notre futur et notre carrière. »

Que pouvons-nous apprendre de l’exemple de Ève ?

Bien entendu, il s’agit d’un cas différent des athlètes professionnels. Ève ne reçoit pas de salaire dans les six chiffres afin de promouvoir les marques qu’elle endosse. Mais un constat demeure : le contenu primera toujours. L’entretien de la relation avec les fans est ce qui maintient le trafic sur le blogue d’un athlète.

Si Ève avait fait l’éloge de ses commanditaires au lieu de parler de ses expériences personnelles à travers sa vie d’athlète, il est probable que les visites auraient été beaucoup moins nombreuses. Bref, en gardant son style, sa touche personnelle, et en gardant l’accent sur sa vie, Ève assure un trafic constant sur son site tout en donnant de la visibilité à ses commanditaires non seulement grâce aux logos sur son blogue, mais bien grâce aux nombreuses photos d’elle et de ses équipières (manteaux, équipements, etc.)

Peut-être direz-vous que ce n’est pas un gros placement publicitaire pour des compagnies comme Head, Alpina et GMC par exemple, mais c’est le genre de commandites qui démontre un engagement dans la communauté et qui, à long terme, est payant pour une marque. Êtes-vous d’accord avec moi ?

Bonne semaine !

Alix.

 

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Blogue de Ève

Équipe canadienne de ski

Merci à ma collègue et amante de la bonne bouffe Isabelle Darche pour le contact.

 

Adidas s’est mis « All In » dans Youtube

Ça s’est passé en fin de semaine dernière. Par le biais d’un partage sur Facebook, j’ai découvert le nouveau canal Youtube développé par Adidas. Ce dernier est vraisemblablement un outil issu de la campagne globale « All In » qui soit dit en passant, a été mise sur pied par une agence bien d’ici, Sid Lee.

All In

Après plusieurs années sous le règne du Impossible is Nothing, l’entreprise allemande laisse la place à une ligne fraîche, inspirante. La fibre fonceuse voire invincible de l’ancienne identité se renouvèle peu à peu pour nous présenter une marque certes encore dynamique, mais je dirais moins compétitive en général dans son ADN.

Peut-être qu’All In demeure simplement le nom de la plateforme et que le slogan original demeurera en place (en fait, je pense que c’est exactement ça). Toutefois, l’axe de communication beaucoup plus social, artistique et plein de coolness que prend Adidas depuis quelque temps s’avère beaucoup moins aligné sur le slogan incisif développé par TBWA. À suivre pour la suite!

C’est vers là que les grandes marques s’en vont

De retour à nos moutons, je voulais vous entretenir sur le canal Youtube, outil prépondérant de la campagne. Participatif et probablement inspiré du stunt 2.0 du correcteur Tipp-Ex, Adidas nous demande par le biais de son canal d’inscrire le sujet de la vidéo que nous voulons visionner. De ce fait, plusieurs sujets tels que ball, skateboard, pain, rap, team, fan et j’en passe représentent des options à inscrire dans le champ situé sous la visionneuse.

Créer des environnements expérientiels et impliquer l’utilisateur ; les marques aux grosses enveloppes budgétaires n’ont comme pas le choix de s’en aller vers ces options. Je pense que c’est un peu le « prix à payer » de leur statut de leader du marché. En ce sens où leader du marché signifierait également leader dans les innovations du point de vue communicationnel. Ce qui contribue, par ricochet, à maintenir et améliorer l’attitude envers la marque.

En plus d’Adidas, Perrier nous a séduit l’été dernier avec l’expérience du Perrier Mansion, un site Web expérientiel et participatif.

Et vous, croyez-vous qu’il en vaut encore la chandelle de dépenser autant d’argent dans des plateformes expérientielles ?

Mauvaise blague de la semaine (en bas à gauche)

Blague à saveur concurrentielle (indice : en bas à gauche)

Hugo

Les derniers seront les premiers

Comme dans tous les domaines, les organisations sportives sentent parfois le besoin indescriptible de prendre part à l’aventure des médias sociaux. Cette envie les poussent parfois sur un terrain glissant voire périlleux où argent, temps et même parfois réputation peuvent se perdre.

Bien sûr, des conseils peuvent être bien utiles pour ces organisations comme bâtir un plan, fournir un contenu pertinent ou utiliser la vidéo, mais la question demeure, être ou ne pas être (sur les médias sociaux)? En effet,  telle est la question que trop peu se posent et qui aurait même due apparaître il y a longtemps sur ce blogue.

Je veux être sur Facebook

Phrase typique, utilisée mainte fois par des professeurs en exemple : « Mon fils est sur Facebook, je veux y être! » Se lancer sur le Web social demande une réflexion stratégique un peu plus poussé que ça. Si on décide d’être sur Facebook que pour rejoindre plus de gens ou encore pour profiter de sa popularité et bien on est dans le champ gauche pour reprendre une expression à la mode. Il faut comprendre comment fonctionne les médias pour saisir à quoi il peuvent servir notre organisation. Je vous propose un article de Michelle Blanc qui explique bien les pour et les contre des deux principaux médias sociaux, Facebook et Twitter.

Un petit conseil, si vous n’êtes pas familier avec ces médias, prenez un petit courr rapide pour bien les comprendre, ça vous aidera grandement.

Publier le contenu de votre site Web

La Ligue de Hockey Senior du Richelieu est une ligue assez sérieuse qui devrait normalement avoir quelques fans, surtout lorsqu’on sait que certaines des ses équipes attirent une centaine de fans par partie. Mais la LHSR a commis l’erreur de se lancer sur Facebook sans objectif autre que d’être sur le média en question. Le résultat est que le seul contenu disponible sur la page est le même contenu que l’on peut avoir sur leur site Web, www.lhsr.qc.ca. Cela fait en sorte que seulement 34 personnes sont devenues fans de la page, ce qui est assez décevant pour une ligue de 12 équipes.

Commencer par sa cour

Mon dernier conseil est de commencer toute nouvelle stratégie Web en examinant de près ce que l’organisation contrôle totalement, le site Web. Je crois qu’il est plus logique de commencer par se bâtir un site efficace en premier lieu. Souvent, un bon site Web peut combler les attentes des différents publics, en commençant par donner des horaires claires et des statistiques à jour. Il sera alors inutile de dupliquer ces informations un peu partout, surtout que cela peut demander du temps et de l’argent.

Ensuite, pensez attentivement à votre stratégie, puis évaluez le potentiel des différents outils, non l’inverse. Comme cela, lorsque vous vous lancerez dans l’aventure vous réussirez sans doute là ou plusieurs ont échoué.

Guillaume

Les centres de ski nous tiennent bien informés !

Avec le changement d’heure et l’arrivée progressive du printemps, il semble y avoir une mince lueur d’espoir qu’un jour, nous nous retrouverons en maillot de bain autour d’une piscine profitant d’une belle journée ensoleillée! Mais pour le moment, malheureusement ou heureusement pour certain, l’hiver est toujours bien présent ce qui permet aux adeptes de sport de glisse de profiter d’encore quelques belles journées. Et pour faciliter leur déplacement, plusieurs applications mobiles leur sont proposées!

Une application Androïd

Ski Trail Maps, disponible sur Androïd, est l’une des applications les plus efficaces pour les amateurs de ski. Elle permet entre autres de consulter une foule d’information sur la majorité des montagnes, que ce soit au Canada, aux États-Unis et même en Europe. À l’aide d’un plan de la station de ski, il est possible de sélectionner des pistes afin de visualiser en détail leur état : qualité générale, quantité de neige, fermeture possible, etc. Une version limitée est disponible gratuitement, mais il est également possible de débourser 2 $ afin d’accéder à la version « pro » de l’application.

Application IPhone

IPhone détient lui aussi plusieurs applications répondant aux mêmes besoins. Il y a notamment SkiQC, une application gratuite permettant de s’informer sur les conditions de neige sur plus de 70 stations de ski au Québec. Un de ces avantages est sa facilité d’utilisation et sa possibilité de retenir en mémoire nos montagnes favorites. Cependant, il n’y aucun pas d’élément visuel comme des cartes, ce qui le rend un peu moins convivial.

Évidemment, des dizaines d’applications destinées aux conditions de neige sont disponibles, et ce, quelle que soit la plateforme mobile utilisée. Et cette tendance va en augmentant puisque plusieurs stations de ski tentent et tenteront d’imposer leurs propres applications mobiles dans les prochaines années, comme c’est cas présentement avec le Mont-Tremblant.

Adeptes de sports de glisse, profitez des dernières semaines de ski pour tester ces applications et dites-moi lesquelles vous préférez!

Valérie

Découvrez le Sportnographe

J’entends déjà les gérants d’estrade aguerris me crier « Ben voyons donc, on connaît ça le Sportnographe Hugo lààà » Et bien je vous répondrai que non, le Sportnographe souffre, selon moi, d’un problème de notoriété. C’est d’ailleurs pour cette raison que je tenterai de vous faire connaître davantage cette machine à parodie qui reprend autant de coquilles que le Benoît Brunet des beaux jours est capable d’en aligner.

Leader dans un marché saturé

Dans la section à propos de leur blogue, le Sportnographe (qui sont des journalistes et/ou humoristes et/ou imitateurs) se décrit comme «  une parodie des médias sportifs « . Sous leur pseudonyme, Réal Munger, Paul Meilleur-Aucoin et Yvan Piquette misent sur « l’enflure médiatique qui entoure le sort, et plus particulièrement le Canadien, pour alimenter leur réflexion ».

Entre l’Antichambre, Droit au but, Le match, Bonsoir les sportifs et autrefois, 110 %, le Sportnographe trace sa propre ligne grâce à un angle éditiorial et un positionnement unique. À ma connaissance et selon mes recherches,  le concept n’a pas encore été égalé ou du moins, aucun groupe d’individus ne propose la rigueur et le sérieux des 3 acolytes. Il faut dire que le support de l’état fédéral (Radio-Canada) doit avantageusement contribuer à la bonne continuité du projet.

Comment le Sportnographe se déploie-t-il ?

Il s’agit d’abord et avant tout d’une émission diffusée le vendredi à 19h00 sur les ondes de la radio de Radio-Canada (la Première chaîne – 95,1). Dans un deuxième temps, c’est aussi un blogue assez bien fait et généreusement fourni. Ce dernier est hébergé à même la racine du site de Radio-Canada.

Et c’est ici que ça devient très drôle. Leurs chroniques, qui prennent la forme de billets de blogue, sont écrites sur un ton qui rend hommage à leur positionnement parodique. Récemment, la bulle médiatique entourant le dossier Chara-Pacioretty leur a livré plusieurs caisses de matériel. Par exemple, dans le cadre de la chronique de Réal Munger le 11 mars dernier, le personnage indique son hésitation à se ranger du côté de Chara ou de Pacioretty. Pour lui, la version du poteau sera déterminante dans son choix.

La section Brève du blogue contient aussi du matériel hilarant. En effet, des capsules hilarantes comme celle de Comptable Sports, une publicité de cabinet-comptable spécialisé dans les rapports d’impôt pour amateurs de hockey.

À mon humile avis, les journalistes du Sportnographe ne sont pas juste là pour démmigrer le sport ni pour jouser inxclusivement sur sa popularité. C’est avant tout d’emblée leur style unique en leur sens qui fait qu’ils sont bon à.

Hugo

Coors Light et Red Bull : équipe gagnante

La commandite sportive est un excellente moyen pour plusieurs marques de profiter d’un buzz (grâce à la notoriété d’un évènement) et de solidifier leur positionnement. Les grandes brasseries du monde, dont Molson Coors, l’ont compris depuis longtemps.

Dans le cadre du Red Bull Crashed Ice 2011 à Québec, Coors Light et Red Bull se sont associés afin de créer la Crash Zone. Crash Zone vous dites ? Et bien cette « zone » est simplement un endroit stratégique en bordure de la piste, située dans le parc Montmorency. Elle offre une vue privilégié de la piste et donc de la compétition, dont la finale aura lieu le samedi 19 mars au soir. Les détenteurs de billet pourront aussi s’éclater grâce à la présence de deux DJ de renom. Au menu aussi : bière froide, boisson énergisante et, fait intéressant, une section « techno » afin que les participants puissent partager leur expérience en temps réel via les médias sociaux !

Mais la où je veux en venir, c’est la stratégie impeccable de Coors Light derrière ce partenariat. Depuis quelques années, la bière la plus vendue au Canada se présente comme étant la bière froide par excellence, avec un goût qui descend bien. Vous aurez surement déjà réalisé que le fit entre les marques est parfait ici. La marque Coors Light se retrouve dans un univers intimement lié au sien. De la glace, du froid, et des « malades » qui descendent une piste de glace à vive allure. Une opportunité que Molson Coors ne pouvait pas se permettre de manquer.

N’oublions pas non plus le fit entre l’évènement en tant que tel. Coors Light se targe d’être une bière de party, une bière de mâle prêt à toute cascade afin de ne pas rater le « gros fun ». En s’associant ainsi à un sport extrême, une marque extrême et à un party VIP, on favorise les attitudes positives chez le public cible. Rappelez-vous les pubs du Manoir Coors Light et les multiples tactiques de fou pour y entrer… on joue dans le même territoire. Pas question de confondre le consommateur.

Bref, je suis certain que vous pouvez vous-même trouver d’autres preuves du mix parfait entre Coors Light et le Red Bull Crashed Ice. En tant que passionné de la gestion de marque et du branding, c’est le genre de partenariat que je trouve particulièrement réussi et que j’aimerais avoir négocié. Je pense qu’à travers de telle commandites sportives, stratégiques et adaptées aux publics cibles, il est possible d’aller chercher un capital de marque plus fort qu’avec les médias traditionnelles. Pour les jeunes, c’est l’expérience avec la marque qui compte. Dans notre cas, l’expérience se continue en plus sur le Web grâce au partage simultané sur les réseaux sociaux.

En terminant, je vous incite à visiter le site Web de l’évènement. Une vidéo présente l’application mobile Red Bull Crashed Ice Invasion, qui sera vraiment trippante pour ceux qui assisteront à la compétition. Si l’un de vous est à Québec la fin de semaine prochaine, donnez-moi des nouvelles !

À la semaine prochaine !

Alix.

Étirer une sauce ou la renouveler ?

Lorsque le Canadien gagne quelques parties, il est coutume d’entendre Jacques Martin parler de son alignement ainsi : « On ne change pas une formule gagnante ! » Est-ce que l’on peut étendre ce concept au monde des médias sociaux? C’est ce qu’a fait la LNH pour les séries éliminatoires 2011 en reprenant l’excellent concept de « History will be made ».

Une offensive parfaite en 2010

En 2010, la LNH avait décidé de lancer une série de vidéos qui étaient vite devenues virales. Le concept de 2010 tournait essentiellement sur les joueurs.


L’offensive lancée un peu avant les séries (il y a un an environ) était surtout axée sur des moments historiques comme ce dernier. Mais rapidement la ligue a compris le potentiel du concept et a fait de nouvelles publicités en lien avec les séries du moment, stratégie judicieuse qui leur a permis de maintenir un momentum jusqu’à la fin des séries.

Quand le consommateur s’approprie un concept

La LNH a probablement atteint le summum de ce qu’on espérer avec une stratégie virale, les fans ont repris le concept à toutes les sauces. Certaines de ces vidéos ont même récolté plus de visionnement que les originaux!


La grande puissance de ce concept est qu’il peut s’est étirer tout au long des séries avec une grande variété de vidéos. Au total, on peut compter plus de deux millions de visionnement pour les différentes vidéos officielles de la ligue, un score plus qu’intéressant.

Ramener le concept pour 2011

La LNH a donc décidé de récidiver cette année et de ramener le concept. Du réchauffé selon certains, mais on ne peut pas reprocher à quelqu’un de réessayer ce qui a été tant profitable. Il faut tout de même souligner que la LNH misera cette fois-ci sur des situations qui sortent du contexte de la patinoire et de l’exploit individuel.


Alors, est-ce que la sauce va reprendre cette année?

Guillaume

Une assistante virtuelle pour les organismes sportifs

Gérer un organisme sportif n’est pas évident : il y a que très peu de budgets, et les responsables sont bien souvent des bénévoles donnant généreusement de leur temps. Consciente de ce problème, une entreprise Web a développé une toute nouvelle plateforme afin de tirer profit de cette situation!

La semaine passée, j’effectue une rencontre de démarrage pour la refonte d’un site web d’un club de gymnastique. La responsable m’informe alors qu’elle sera maintenant obligée de passer via un site Internet pour tout ce qui concerne inscriptions et paiements. Ce logiciel c’est Amilia, une assistante virtuelle!

Une application web conçue sur mesure

Amilia est une base de données qui permet aux organismes, notamment sportifs et artistiques, de tenir à jour les informations des membres, des clients et des contacts. Cet outil permet également de centraliser l’ensemble des inscriptions et des paiements en ligne pour ainsi faciliter la vie des parents désirant inscrire leurs enfants à des activités, mais également celles des responsables des organismes. En effet, l’accès à la plateforme via Internet permet d’accéder à une foule de documents : état de compte, rapport d’impôt, suivi financier, etc. De quoi sauver des heures de paperasse!

Un modèle d’affaires prometteur

Bien entendu, une entreprise n’investirait pas autant d’effort dans la conception d’un logiciel Web comme celui-là seulement par philanthropie. Avec des forfaits mensuels qui varient entre 19 $ et 239 $, il y a évidemment un énorme potentiel pour ce modèle d’affaires qui semble en intéresser plus d’un.

Bien sur, avoir un client ici et là, c’est bien. Mais lorsque ce sont les fédérations mêmes qui obligent ou suggère fortement aux différents clubs d’investir dans ce système, cela devient « drôlement intéressant » (pour reprendre les mots de notre professeur de commerce électronique 😉 ).

Bref, si vous êtes responsables d’un club de soccer/danse/football/hockey/tennis et que vous vous sentez débordé par la charge administrative, vous savez maintenant qu’il existe une excellente entreprise capable de vous aider! Pour ceux qui ont déjà adopté cette nouvelle plateforme, laissez-moi savoir si vous êtes satisfait de votre investissement!

Pour avoir plus d’information, il vous est également possible de suivre Amilia sur Facebook et sur Twitter.

Valérie